L’essentiel de l’actu :
Le corps d’un homme d’une cinquantaine d’années a été retrouvé en pleine rue hier à Tarbes. Ce sont des agents des espaces verts de la plus grande ville des Hautes-Pyrénées qui ont donné l’alerte dans la matinée alors qu’ils étaient chargés de l’entretien de la végétation dans le quartier Sainte-Anne. Une enquête a été ouverte pour recherche des causes de la mort. Une autopsie va être pratiquée à l’institut médico-légal de Toulouse.
De nouvelles informations ont été partagées par la préfecture des Pyrénées-Orientales après le déraillement d’un train TER hier à Eus, près de Prades. Alors qu’une enquête judiciaire pour ‘blessures involontaires’ a été ouverte, le sous-préfet de Prades Didier Carponcin estime que le glissement de terrain à l’origine de cet accident ferroviaire a pu être provoqué par une arrivée importante d’eau sur le terrain asséché qui surplombe le ligne de chemin de fer. A noter également qu’après avoir déraillé, le train a heurté un pont et l’a fragilisé. Il restera donc fermé aux véhicules et piétons jusqu’à nouvel ordre. Tout comme la circulation des trains entre Prades et Perpignan.
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Ils étaient une centaine devant le centre pénitentiaire de Perpignan. Hier, les agents pénitentiaires de la prison où a eu lieu une tentative de prise d’otage mardi se sont rassemblés pendant quelques heures devant l’entrée de l’établissement. Ils demandaient à ce que le détenu soit mis en garde à vue. Requête entendue par le directrice de l’établissement, qui a donc conduit à la fin de la mobilisation en fin de matinée. Dans un communiqué publié après la mobilisation des agents pénitentiaires, le syndicat UFAP UNSA Justice a dénoncé le sur-entassement volontaire de personnes détenues comme facteur imparable de la montée de la violence dans l’établissement pénitentiaire.
