Une Andorrane poursuivie pour avoir défendu le droit à l’IVG

Amnesty International

Pour s’être exprimée devant l’ONU, en 2019, en faveur du droit des femmes à disposer de leur corps, Vanessa Mendoza Cortès est accusée d’avoir porté atteinte au « prestige et à la bonne réputation » du gouvernement andorran. Pour avoir souligné l’impact néfaste de l’interdiction de l’avortement dans la Principauté pour les femmes et les jeunes filles andorranes, elle risque une amende et une inscription de sa condamnation au casier judiciaire.

Les écologistes du Pays catalan appellent à la relaxe de Vanessa Mendoza Cortès et invitent à signer la pétition d’Amnesty international en sa faveur. 

Nous avons interrogé David Berrué, du pôle écologiste du pays Catalan à ce sujet :

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