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Le procès des incidents violents qui avaient entaché une réunion d’associations de défense de l’environnement, en mai 2018 à La Bastide-de-Sérou, a débuté ce mardi 18 octobre à Foix, sur fond de manifestation des défenseurs de la ruralité.
Ils étaient moins nombreux que prévus : entre 1500 et 2000 personnes au lieu des 5000 espérés pour soutenir les accusés, mais aussi envoyer un message d’unité du monde rural.
Pour rappel des faits : le 5 mai 2018, alors que des associations environnementales se réunissaient à la Bastide-de-Sérou pour faire un “état des lieux de l’environnement en Ariège”, plusieurs centaines de personnes s’y étaient retrouvées – agriculteurs, chasseurs, élus locaux – lors d’une manifestation parallèle qui avait pris beaucoup d’ampleur et mobilisé de nombreux effectifs des forces de l’ordre.
Les associations environnementales portaient plainte peu de temps après, pour « entrave concertée et avec menaces à l’exercice de la liberté de réunion ». C’est ce motif qui vaut donc une comparution en justice aux organisateurs de la manifestation.
Écrit par: Klervie Vappreau
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jenn jean pierre sur 18 octobre 2022 à 17h20
Bonjour,
Ce n est pas le procès des anti-ours ,des agriculteurs ou des chasseurs mais de la liberté de pouvoir se réunir et d’échanger divers points de vue.
comme d habitude certains en ont profité pour changer de direction à l occasion de ce procès en les opposant aux écologistes .