L’essentiel de l’actualité :
L’opération d’abattage de chèvres officiellement annulée dans les Corbières
La Préfecture de l’Aude a publié hier un arrêté qui a abrogé l’arrêté temporaire autorisant du 3 au 30 septembre les tirs par arme à feu sur les chèvres et caprins de cinq communes des Corbières.
Rappelons que cet arrêté, contesté par une partie de la population et par les défenseurs de la cause animale, n’a jamais été mis en œuvre. La propriétaire des animaux, qui n’avait pas réussi à reprendre le contrôle de son troupeau depuis près d’une dizaine d’années, serait finalement parvenue à les récupérer au début du mois.
Pour rappel, ces caprins devenus sauvages étaient à l’origine de nombreux dégâts dans les exploitations viticoles, mais aussi de traversées de la route départementale 611A.
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Soude caustique à Toulouse : des expertises psychiatriques demandées
Après qu’un petit garçon de deux ans ait été brûlé à la cuisse en dévalant un toboggan d’une aire de jeux de Toulouse enduit de soude caustique, et après que deux mineurs de 11 et 12 ans aient été identifiés comme potentiels responsables de cet acte, le Parquet de Toulouse annonce que des expertises psychiatriques ont été demandées pour évaluer le niveau de discernement des deux mis en cause. On apprend également que la mairie de Toulouse à porté plainte à son tour pour la détérioration du matériel.
La surpopulation carcérale bat des records en Occitanie
Les derniers chiffres sur les établissements pénitentiaires français ont été publiés récemment. On y découvre que la surpopulation carcérale continue de battre des records dans les prisons de la région Occitanie. Ainsi, les prisons de Carcassonne, de Perpignan, de Toulouse Seysses, de Foix et de Nîmes détiennent un taux de surpopulation carcérale supérieur à 200%. A Carcassonne, ce taux atteint même 247%, un record national.
La statue de l’Abbé Pierre démontée à l’Emmaüs de Lescar-Pau
Dans les Pyrénées-Atlantiques, la statue rendant hommage à l’Abbé Pierre à l’entrée du village Emmaüs de Lascar-Pau a été démontée hier. Une mesure décidée après les accusations d’agressions sexuelles formulées à l’encontre du fondateur de l’association.