Andorre

L’Andorre lance une étude pionnière sur l’alimentation et le cancer du sein.

Le projet MeDiBREAST, lancé par l’Hôpital Nostra Senyora de Meritxell, étudiera dès 2026 si le régime méditerranéen peut atténuer les effets secondaires de la chimiothérapie et améliorer la qualité de vie des patientes.

© Photo Cadena Pirenaica.

L’Hôpital Nostra Senyora de Meritxell s’apprête à lancer, au début de l’année prochaine, le projet MeDiBREAST, une étude inédite qui cherche à déterminer si le respect strict d’un régime méditerranéen peut atténuer les effets secondaires de la chimiothérapie chez les femmes atteintes d’un cancer du sein, rapportent nos confrères de Cadena Pirenaica- Radio Valira

Cette initiative innovante est le fruit d’une collaboration entre les unités d’oncologie et de diététique du SAAS, avec le soutien scientifique de l’Hôpital Clínic de Barcelone, chargé des analyses les plus complexes liées à la microbiote et à la métabolomique.

En attente de validation par le Comité d’éthique de la recherche, le protocole de l’étude est déjà finalisé et son financement garanti. Une part essentielle des ressources – 8 477 euros – a été réunie grâce à la Cursa de la Dona, organisée le 14 juin dernier.

Le projet prévoit la participation de 25 patientes recevant un traitement systémique contre le cancer du sein. Si les résultats s’avèrent concluants, cette étude pourrait ouvrir la voie à de nouvelles approches nutritionnelles pour améliorer la tolérance et l’efficacité des traitements anticancéreux.

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